Définie par la loi n°2014-856 du 31 juillet 2014, la notion d’Economie Sociale et Solidaire (ESS) regroupe les acteurs traditionnels de l’économie sociale (associations, fondations, coopératives, mutuelles…), ainsi que toute entreprise adhérant aux principes suivants :

• Un but social, autre que le seul partage des bénéfices ;
• Une lucrativité encadrée (notamment des bénéfices majoritairement consacrés au maintien et au développement de l’activité de l’entreprise) ;
• Une gouvernance démocratique et participative.

Les ateliers thématiques des Capteurs de Territoire, organisés par la Fédération des EPL pour la deuxième année consécutive, sont consacrés cette année aux territoires en mutation. A ce titre, la première séance du 22 février dernier, animée par Hugues SIBILLE (président du Labo de l’ESS), portait sur l’impact des nouveaux modèles de développement économique prônés par l’ESS sur l’économie dominante.

Dans la continuité de cet atelier thématique, OBJECTIF VILLE vous propose ainsi de (re)découvrir les chiffres-clefs de l’Economie Sociale et Solidaire sur le territoire métropolitain !

Ces chiffres-clefs, produits de l’analyse des fichiers de recensement du répertoire SIRENE, peuvent différer de ceux fournis par le Conseil National des Chambres Régionales de l’Economie Sociale (CNCRES). En effet, tel que défini par l’Insee dans le répertoire SIRENE, le champs de l’Economie Sociale et Solidaire est plus large que la liste affichée par le CNCRES, qui se restreint aux seules entreprises employeuses de l’ESS.